• Prendre conscience de son homosexualité est une étape complexe dans la vie des personnes concernées.

                      

    Certaines découvrent et acceptent très vite, parfois dès l'adolescence, la nature de leur attirance amoureuse. D’autres repoussent le moment de la révélation, aussi bien vis-à-vis d’eux-mêmes que de leur entourage dont ils craignent la réaction. Même aujourd'hui, où l'on a coutume de dire que l'on vit dans une société libérée, décomplexée... il peut être compliqué d'annoncer son homosexualité. Le coming out désigne l'annonce volontaire d'une orientation sexuelle à son entourage. L'expression "coming out" vient du verbe anglais "to come out", qui signifie "sortir de". On dit souvent que lorsque l’on révèle son homosexualité, on sort du « placard ». Ce « placard » est l'endroit dans lequel on "cache" la personne que l’on est réellement, son désir où l'on se réfugie parce que l’on a peur de la réaction de ses proches si l'on révèle que l'on est lesbienne, gay, bi ou transsexuel. Le coming out est un moment très important, une étape décisive dans l'acceptation de soi, puisqu’il permettra de révéler aux autres une partie de sa véritable identité. C'est un acte courageux, un moment où l'on s'expose, et que l'on est amené à revivre souvent lorsque l'on parle de soi. Le coming out peut bien se passer, mais parfois il ne se déroule pas aussi facilement qu'on l'espérait. On ne choisit pas toujours le "bon" moment pour le faire. Il faut savoir bien s'entourer pour, au cas où la réaction des personnes ne serait pas celle attendue, ne pas être seul(e). Il n’existe pas non plus d’âge idéal pour faire son coming out. Certains révèlent leur homosexualité à l’adolescence et d’autres plus tard, parfois même après avoir été marié et avoir construit une vie de famille. Certains n’en parlent pratiquement à personne, ou qu’à leurs amis et ne parviennent jamais à l’avouer à leur famille. Différence entre coming out et outing Ce qu’on appelle "outing" vient aussi de l'expression "coming out" mais, à la différence de l'acte volontaire et personnel qu'est le coming out, l'outing désigne l'acte de révéler qu'une personne est homosexuelle sans son accord.

    Une meilleure connaissance du corp.

    Contrairement aux idées reçues, les pratiques homosexuelles ne diffèrent pas tant que ça des relations hétéros. Le coït n’étant ici pas le centre du rapport, les partenaires attachent une importance toute particulière aux caresses et aux stimulations mutuelles. L’excellente connaissance du corps de son partenaire et de ses zones érogènes permettrait même des caresses d’une douceur et d’une sensualité que l’on ne retrouve pas toujours aussi intense chez les couples hétéros. Quant à la question de la fidélité, s’il semble que les hommes continuent d’afficher une légère préférence pour l’autonomie et la liberté dans leurs rapports, les relations homosexuelles n’en sont pas moins intimes ni moins fusionnelles.

  • Lla taille du pénis son apparence (forme, couleur) et taille du pénis varient d'un individu à l'autre.

    Il n'y a donc pas de modèle standard. Sachez que la taille du pénis n'est pas liée à celle de l'homme, ni à son poids. Il est pourtant difficile d'échapper à la statistique : au repos, lorsque le pénis est en état de placidité, il mesure en moyenne 8 à 10 cm. L'air, l'eau froide, la peur, la colère, ou l'anxiété peuvent réduire temporairement sa longueur. Inversement, il s'allonge sous l'effet de la chaleur, ou de la relaxation. En érection, il durcit, augmente de volume et se dresse vers l'abdomen. Il mesure alors en moyenne entre 12 et 18 cm de longueur et 3 à 4 cm de diamètre. A noter : la taille d'un pénis au repos n'est en aucun cas révélatrice de sa taille en érection. Un pénis plutôt petit au repos atteint souvent une dimension tout à fait satisfaisante sous l'effet de l'excitation. Qu'est-ce qui explique cette obsession de la taille? La rumeur publique ne fait qu'alimenter les inquiétudes, et les films érotiques n'exhibent souvent que des organes surdimensionnés. L'intérêt porté à cette question est en fait lié au souhait d'être normal, et sexuellement ajusté. Cependant, la taille du pénis n'a rien à voir avec la virilité, les performances sexuelles, le désir ou le plaisir. Le diamètre n'a que peu d'effet physiologique sur la femme car son vagin peut s'adapter à toutes les circonférences. Quant à la longueur, elle est pratiquement insignifiante puisque c'est le premier tiers du vagin qui possède le plus de terminaisons nerveuses et qui est donc le plus sensible. La taille du pénis peut néanmoins avoir une portée psychologique plus ou moins forte. Certaines femmes préfèrent, et se sentent même valorisées par un gros pénis. Cela peut également donner aux hommes un sentiment de prestige et de sex-appeal.

  •  La lingerie est un domaine toujours plus innovant.

    La féminité et la sensualité se rejoignent dans un morceau de tissu afin de satisfaire la femme, mais aussi le conjoint. Un corps parfait dans un confort absolu ! Tout est dans la subtilité, on n’essaye pas d’en faire trop, de multiplier les coutures et les broderies. C’est l’art d’adapter ses vêtements à son corps. Les dessous subliment la silhouette grâce à des effets sculptants, des textiles intelligents qui respectent le corps et la peau. Coup de cœur avec la "Petite Tricheuse", une culotte conçue pour regalber les fesses. Elle met en valeur les formes, et se porte comme une seconde peau grâce à sa matière fine. Le corset et le bustier est la pièce phare de l’élégance, du raffinement et de la féminité. En ce moment, on assiste au retour du glamour. On aime le symbole de la femme fatale, la pin-up, la danseuse de cabaret. Il y en a pour toutes les silhouettes, il ne faut pas forcément faire le même tour de taille que Marie-Antoinette pour l’adopter ! Il peut se porter aussi bien en intimité avec son Jules que lors d’une virée en boite avec des copines. Le porte-jarretelles Sexy à souhait, le porte-jarretelles convient aux femmes sophistiquées. Il est même l’objet de fantasmes de la part de beaucoup d’hommes. Seulement 10% à 15% des Françaises déclarent en porter..C’est la lingerie rétro qui vous donnera le look.

     N’hésitez plus, mettez un peu de piment dans votre couple ! La nuisette La plus classique de la lingerie sexy pour la nuit. Optez pour une nuisette en soie ou en satin très agréable à porter, charme assuré ! Elle met en valeur la poitrine et permet de masquer les bourrelets éventuels du ventre. Pour être encore plus sexy, il existe des nuisettes total look transparent... voilà de quoi réjouir certains. Si vous préférez des modèles discrets, chics et romantiques faits pour vous. Craquez pour la mousseline de soie imprimée, bretelles et bas en dentelle Chantilly par Nuits de satin. Le string ce petit bout de ficelle a plusieurs qualités. Tout d’abord, il permet de porter un pantalon serré ou un pantalon blanc sans que l’on remarque les bords de la lingerie. Contrairement à la culotte forcément visible et pas très glamour... Vous paraitrez encore plus sexy dans votre slim ! Il y en a pour tous les goûts, toutes les couleurs, faites vous plaisir sans modération. Les pièces de lingerie sexy Out le string ficelle, le soutien-gorge rembourré !  Fouillez dans votre armoire et ressortez vos classiques : porte-jarretelle, body, soutien-gorges balconnet… Découvrez également les nouvelles pièces de lingerie à la mode : shorty, culotte en coton et en satin et devenez la reine du glamour à la maison !   la lingerie sexy ce n’est pas seulement le string ficelle et le soutien-gorge rembourré !  Mélangez ces dessous avec les nouvelles pièces de lingerie à la mode sexy : shorty, culotte en coton ou en satin et hop vous voilà Reine du glamour à la maison ! Lingerie sexy et l'éternel porte-jarretelle Le porte jarretelle incarne à lui tout seul le grand classique de la lingerie sexy. Cette pièce ne cessera jamais de faire fantasmer les hommes. Il suffit juste d’évoquer son nom et l’Homme fond. Conçu pour maintenir les bas, il est hélas de moins en moins porté depuis l’apparition sur le marché des bas collants. Le porte-jarretelle, synonyme de sensualité, se porte à la taille au dessus du string ou de la culotte et ses rubans maintiennent les bas de chaque côté de la cuisse. Souvent en dentelle, ce type de lingerie sexy est très féminin et se porte sous des jupes mi-cuisses. Pour une allure définitivement sexy, jouez le jeu de la femme fatale jusqu’au bout... N’hésitez pas à porter votre porte-jarretelle sous un ensemble tailleur et des talons hauts, puis demandez de l’aide à votre partenaire pour enlever délicatement vos bas.

    La lingerie sexy ce n’est pas seulement le string ficelle et le soutien-gorge rembourré !  Le porte jarretelle incarne à lui tout seul le grand classique de la lingerie sexy. Cette pièce ne cessera jamais de faire fantasmer les hommes. Il suffit juste d’évoquer son nom et l’Homme fond. Conçu pour maintenir les bas, il est hélas de moins en moins porté depuis l’apparition sur le marché des bas collants. Le porte-jarretelle, synonyme de sensualité, se porte à la taille au dessus du string ou de la culotte et ses rubans maintiennent les bas de chaque côté de la cuisse. Souvent en dentelle, ce type de lingerie sexy est très féminin et se porte sous des jupes mi-cuisses. Pour une allure définitivement sexy, jouez le jeu de la femme fatale jusqu’au bout... N’hésitez pas à porter votre porte-jarretelle sous un ensemble tailleur et des talons hauts, puis demandez de l’aide à votre partenaire pour enlever délicatement vos bas. L’effet lingerie mode sexy se fera rapidement ressentir ! L'indiscutable body sexy Porté de jour comme de nuit, le body, pièce de lingerie sexy très 80’s, fait son grand retour. Il se porte désormais façon sport ou en dentelle. Pour un revival très « Fame », on en trouve facilement en coton pour porter sous une jupe ou un short. Beaucoup plus sexy, le modèle en dentelle ou en soie avec balconnet intégré rappelle les premiers modèles Dolce&Gabanna et se porte avec une jupe en jean, sous une chemise en tartan bref sous une tenue en mode sexy. Vous pouvez également oser le porter comme un top pour jouer les effets « dessous-dessus » pour une allure très mode et sexy. Lingerie sexy sans soutien gorge balconnet ? Forme push-up ou non, le soutien gorge balconnet met en valeur tous les décolletés même les plus menus. sexy, confortable, c’est encore mieux de le porter avec le bas assorti. Qu’il s’agisse d’une culotte ou d’un tanga ce type de lingerie sexy sera d’autant plus remarqué car encore plus sophistiqué. Out, le fameux soutien-gorge rembourré, on mise sur nos atouts naturels, plutôt que sur la triche franchement vulgaire. Attention ! Il faut l’assortir en fonction de son top pour éviter marques et effets de transparence involontaires et surtout...inappropriés. La culotte en coton discrètement sexy La culotte en coton a priori ne fait pas partie de ce qu’on appelle la lingerie sexy. Détrompez-vous ! Grande amie de nos jours comme de nos nuits, la culotte en coton est bien plus sexy qu’on ne le croit. Sous-vêtement de la jeune fille en fleur par excellence, il suffit de la porter associée à un simple débardeur pour émouvoir votre compagnon. Confortable et toute douce, elle est simplement indispensable. Attention cependant : on ne la porte pas avec des vêtements moulants car ses coutures se voient. Préférez la porter sous une jupe ou une robe fluide et ample, ou des pantalons épais. Une robe fleurie avec la petite culotte en coton blanche classique...c’est pas sexy ? Le tanga un must have de la lingerie sexy Plus large et sexy que le string, le tanga est le cousin sexy du slip brésilien. On le choisit dans de belles matières toutes douces et glamour comme le satin, la soie ou la dentelle. Côté couleurs on privilégie le crème, le blanc, le noir, plutôt que des couleurs vives, beaucoup trop vulgaires. La nouvelle alternative au tanga, c’est la culotte échancrée en satin ou en soie effet blousé appelé le « blummer », sexy, sensuelle, on le trouve même en semainier, coquin et malin. Le mini short a pris sa place dans notre garde-robe depuis plusieurs années sans qu’on puisse l’en déloger. Son style un peu sport séduit toutes les générations et sa forme met en valeur toutes les formes de fesses. Il est le meilleur ami des hanches un peu larges mais des aussi des silhouettes un peu « plates ». Sa découpe dévoile la moitié de vos courbes et sa taille basse permet de le porter avec tous vos jeans tout en évitant le vulgaire string qui dépasse. En coton ou en dentelle on craque ! La lingerie sexy ça s'entretient ! Les plus jolies matières avec lesquelles sont fabriqués nos sous-vêtements sont souvent les plus fragiles. Il faut donc prendre grand soin de textiles comme la soie, la dentelle, le satin, le coton le cuir . Pour découvrir comment entretenir vos dessous en respectant les matières fragiles de votre lingerie sexy, voyez la fiche correspondante. Voir aussi: > Tous nos sujets sur la lingerie dans notre rubrique Mode Sur le même thème

  • Les désirs des hommes et des femmes ne sont pas toujours au diapason.

    Comment l’expliquer, car le désir masculin, désir féminin et les différences. Il a envie d’un câlin, moi pas. Il est plutôt du matin, je suis mieux disposée le soir. Les désirs des hommes et des femmes ne sont pas toujours au diapason. Comment l’expliquer ?

    Le désir, c’est le moteur de la sexualité.

    Une relation de couple sans désir risque très vite de se transformer en amitié. Différents facteurs, à la fois physiques et psychologiques, entrent en jeu dans le déclenchement du désir sexuel : mode de vie, éducation, hormones, fantasmes, sentiments. L’influence des hormones L’hormone du désir, c’est la testostérone, chez l’homme comme chez la femme. Elle est produite par les testicules et les glandes surrénales de ces messieurs, par les ovaires chez nous. Notre taux de testostérone étant moins élevé que celui de nos compagnons, doit-on y voir pour autant l’explication d’un appétit sexuel moindre ? Pas forcément, car le corps féminin est beaucoup plus sensible à la testostérone que le corps masculin. Aussi, la différence est-elle compensée. Les fluctuations hormonales, notamment au cours du cycle menstruel, influencent particulièrement l’intensité du désir féminin. Les jours qui précèdent l’ovulation, notre corps enregistre un pic d’œstrogènes, notre libido est alors à son apogée (sauf pour celles qui sont sous contraception bien sûr). En revanche, après un accouchement, nous sécrétons de la prolactine, une hormone anti désir. Les facteurs psychologiques Education, culture, interdits sociaux et religieux hérités des siècles passés exercent encore une pression morale importante sur les femmes, qui expriment moins volontiers leurs désirs que les hommes. Ceci expliquerait peut-être pourquoi les hommes dissocient beaucoup plus facilement désir sexuel et sentiments : ils peuvent très bien avoir envie de faire l’amour avec une personne dont ils ne sont pas amoureux. Néanmoins, plus ils sont attachés à leur partenaire, plus leur libido se fait intense. Par ailleurs, le désir masculin est à tendance pulsionnelle, c’est-à-dire qu’il vient de l’intérieur, tandis que celui de la femme est plutôt provoqué par l’envie et l’excitation de l’autre, par un environnement favorable, une situation de détente, propice aux câlins. Age et désir sexuel. Chez l’homme, le désir sexuel apparaît à la puberté, dès les premières masturbations. Il est très développé jusqu’à 50 ans, mais peut commencer à décliner ensuite. En effet, avec l’âge certains hommes connaissent l’andropause, une diminution de la testostérone qui entraîne une baisse de la libido. - Si le désir s’éveille plus tard chez la femme, il s’accroît avec le temps et surtout l’expérience. La maturité sexuelle se situe vers 35 ans. A la ménopause, le taux d’œstrogène diminue, les ovaires génèrent moins de testostérone. Mais comme les facteurs psychologiques interviennent également, le désir ne baisse pas forcément : les femmes ayant plus de temps pour penser à elle et à leur couple, elles accordent davantage de place à leur vie sexuelle. Cette période de la vie d’une femme marque souvent une renaissance du désir. Les meilleurs moments pour lui et pour elle Mais pourquoi veut-il toujours faire des galipettes le matin, alors que vous êtes pressée et mal réveillée ? Rassurez-vous, ce n’est pas pour le plaisir de vous contrarier. Le taux de testostérone de nos hommes grimpe de 30 % le matin ! D’où leur libido exacerbée au réveil. A l’inverse, les femmes ont besoin de se sentir détendues, zen et l’esprit libre pour avoir envie. Le moment propice, c’est donc le soir, une fois que les enfants sont couchés et les soucis du bureau oubliés. Difficile d’accorder ses emplois du temps ! Côté saisonnalité, là encore, nos biorythmes interviennent. Les femmes voient leur désir décuplé dès l’arrivée du printemps en raison d’un pic d’œstrogène important. Chez les hommes, l’éveil des sens est plus tardif, et correspond plutôt au début de l’été. Comment se mettre d’accord ? Lorsque l’autre n’a pas envie, le demandeur se sent rejeté, mal aimé, pas désirable. Pour éviter ce genre de situations désagréables pour l’un comme pour l’autre, engagez le dialogue. Chacun doit exprimer ses sentiments, ses frustrations pour renouer le lien avec l’autre.

    Enfin, comme le dit le fameux proverbe, « l’appétit vient en mangeant », n’hésitez pas à vous forcer un peu au départ, à force de caresses et de câlins, le désir s’éveillera tout naturellement., alors lancez-vous comme ici!

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    Ce baiser si langoureux a profité à la réputation de nos amants dans le monde entier.

    Mais sachez qu’il en existe bien d’autres, tout aussi délicieux. De la technique à adopter aux trucs à éviter, revue de détails pour des moments très tendres. L'art du baiser. Le célèbre french kiss, vous connaissez ? Ce baiser si langoureux a profité à reveiller des sens. De la technique à adopter aux trucs à éviter, revue de détails pour des moments très tendres… Le baiser, un préliminaire amoureux et on se plaît mutuellement, on se séduit et puis on s’embrasse. Tel est le parcours de la plupart des romances. Un bécot pour commencer, un bisou ensuite puis de vrais baisers, langoureux, sensuels et érotiques à souhait. Plus qu’une preuve d’affection, cette étreinte est une source d’intense plaisir à partager, créant ainsi une vraie fusion entre deux êtres et instaurant un climat de confiance. Depuis toujours et dans toutes les formes de littérature, l’art du baiser a une place de choix dans les préliminaires amoureux. C’est notamment le cas dans les récits des contes des mille et une nuit et dans les chapitres du kama-sutra… Au départ, on parlait de simple becquée, qui s’est peu à peu transformée en reniflements, en baisers sur les mains, le front, les joues et aujourd’hui la bouche, avec ou sans la langue. Le baiser à travers le monde Les Indiens d’Amazonie seraient choqués par nos baisers sur la bouche (avec ou sans la langue), qu’ils considèrent comme déplacés. Quant aux peuples africains, ils considèrent que le baiser est un défaut d’hygiène élémentaire, qui peut les priver de leur âme et de leur vie. Certaines femmes Manjas d’Afrique équatoriale ont la lèvre supérieure perforée d’un disque en bois pour éviter les baisers, qui sont donc remplacés par des poignées de mains. Les hommes leur serrent alors le pouce pour leur montrer leur affection. Chez les Esquimaux, on se renifle tendrement ou on se tire la langue, que ce soit une simple marque de respect ou bien un geste de séduction.

    La technique embrasser l’autre reste un art qu’il convient de bien maîtriser pour être au top en matière de séduction.

    Pour un baiser profond, sensuel et fougueux, veillez à ouvrir grand la bouche, à joindre vos lèvres à celles de votre partenaire, sans hésiter à mélanger les salives. Les langues peuvent alors se rejoindre, s’entrelacer à l’aide de mouvements circulaires pour ensuite se titiller le palais, l’intérieur des joues, sans oublier de les mordiller délicatement. Et le petit truc qui fait la différence : l’amour ! En y mettant tout votre cœur, vous aurez peu de chance de le rater, faisant de vos baisers des échanges dignes des scènes de cinéma ! A noter que le baiser n’est pas forcément une invitation au sexe ! Il peut être simplement l’occasion d’un flirt poussé. A cela s’ajoutent des petits trucs qui amplifient le plaisir : le souffle que l’on sent se balader ici et là, associé à de douces paroles ou bien des caresses pleines de tendresse. Les trucs à éviter En principe les baisers sont l’occasion d’improviser et de vérifier la compatibilité amoureuse entre vous et votre partenaire. Apprenez cependant que certaines choses peuvent rebuter le plus courageux des amants. • L’haleine : vous avez mangé un plat épicé ? Eh bien, dès que vous sentez le baiser incontournable, filez discrètement aux toilettes et brossez-vous les dents. Fraîche, pulpeuse et sensuelle, votre bouche n’en sera que plus appétissante. Halte à l’anxiété, que se soit lors du premier rendez-vous ou bien pour les suivants, il n’y a rien de plus agaçant qu’une personne pressée d’en finir ou encore très tendue, qui a tendance à vous « manger » littéralement la bouche. Sachez allier douceur, souplesse de la mâchoire et agilité. • La salive, point trop n’en faut ! rien de pire qu’un baiser trop mouillé, qui baigne dans la salive de l’autre… sachez préparer votre « attaque », avalez votre salive avant de vous lancer et le tour sera joué ! Il est avare de baisers, c’est grave docteur ? Avec les années, il est fréquent que les couples s’échangent moins de baisers enflammés, en public et même en privé. Et bien souvent, ce sont les hommes qui se montrent les plus avares. A terme, cela peut entraîner une perte de confiance en soi pour la partenaire, estimant que son homme ne la désire plus autant qu’avant. La raison est simple : au moment du passage de l’enfance à l’adolescence, certains petits garçons se sont vus privés de bisous et autres câlins par leurs parents, estimant qu’ils étaient trop grands pour de telles démonstrations d’affection. Du coup, une fois arrivés à l’âge adulte, ces derniers éprouvent des difficultés à montrer une quelconque tendresse, même à la femme de leur vie. C’est donc à vous mesdames, de leur faire prendre conscience de cela et de les «apprivoiser». Les risques de maladie Il n’y a pas que les rapports sexuels qui peuvent générer des maladies. Le baiser peut, lui aussi apporter son lot de désagréments, et ce quelques minutes après l’échange en question. Le danger vient de la salive ou simplement des lèvres. Ainsi, on retrouve l’herpès qui peut se contracter par simple contact avec la muqueuse tout comme la grippe ; la mononucléose, qui se transmet par la salive, et dans certains cas beaucoup plus rares, des allergies (cacahuètes, noix, poisson…). Sachez donc vous protéger si votre partenaire est souffrant. Avec quelques jours d’abstinence, les baisers n’en seront que meilleurs ! Les zones sensibles Les baisers sont encore plus délicieux s’ils sont réalisés sur des zones érogènes. Effleurages et autres mordillements des lèvres ou bien passage de la langue sur certaines zones prennent alors une toute autre dimension, sexuelle cette fois. Les baisers, à la fois humides et brûlants posés sur la nuque, les seins, les fesses et dans le creux des reins peuvent être très excitants et efficaces car ils mettent en éveil de multiples capteurs sensoriels. Les lobes d’oreilles et leurs pavillons sont également très évocateurs car riches en terminaisons nerveuses. Quant aux baisers plus « hot » dit aussi caresses bucco-génitales, ils apparaissent juste avant la pénétration et sur les parties intimes, lors de la fellation et du cunnilingus.




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